Une année pour préparer nous-même ce magnifique voyage et nous ne regrettons rien. La magie de la Polynésie a opéré et nous sommes fin prêts pour renouveler cette expérience le plus souvent possible. Voici donc un aperçu des leçons que nous avons tirées de ces différents séjours et de nos impressions. Retrouvez nos conseils pour l'organisation, les bagages et surtout, nos meilleures adresses et les "souvenirs" que nous pouvons trouver !
Commençons par les vols
Aucun changement à prévoir pour notre prochain voyage. L'organisation des vols était parfaite. Nous avons réservé les vols internationaux un an à l'avance et les vols inter-îles 9 mois à l'avance.
Nous avons voyagé avec Air France et le vol sélectionné était idéal. Un vol direct avec une escale technique de deux heures à Los Angeles, sans changer d'avion et sans récupérer les bagages. Attention, certains vols le nécessitent. Pas de temps à perdre pendant ces deux heures : il faut passer l'immigration (ce qui peut être très long), repasser les contrôles et ré-embarquer. Ca laisse au bout du compte entre 5 et 20 minutes pour se dégourdir les jambes avant de remonter dans l'avion. N'essayez pas d'emmener avec vous votre camembert, car vous passerez devant le chien qui vous flairera sous tous les angles. Pour tout fumet qu'il détectera, vous risquez de passer un moment pénible à vous expliquer ... et de voir l'avion repartir sans vous...
La durée du vol n'est pas trop problématique non plus si on gère son temps : repas, films, siestes, marches et de temps à autre les jambes en l'air (pour la phlébite), le tout agrémenté de bas ou de chaussettes de contention indispensables pour éviter de gâcher les vacances.
A l'arrivée à Papeete, les formalités d'immigration se font dans un délai très raisonnable. Comme notre avion pour Moorea repartait deux heures plus tard, nous avons eu le temps de commencer à nous imprégner de l'ambiance polynésienne. Les boutiques sont ouvertes à l'arrivée des vols internationaux, même à 6 heures du matin. Nous avons toutefois demandé un accueil polynésien proposé par l'aéroport de Tahiti avec colliers de fleurs, hôtesses, salon, bagages pris en charge....
Nous avons récupéré notre boîtier WIFI qui nous attendait au stand TAHITI WIFI dans l'aéroport. Il nous a été très utile car même s'il y a du wifi à peu près partout dans les îles que nous avions choisies, la qualité de la connexion n'était pas toujours au rendez-vous. Il nous a permis d'avoir à peu près tout le temps un débit suffisant pour alimenter le blog !
Les vols inter-îles avec Air Tahiti : très important de bien réserver à l'avance comme nous l'avions fait car les places sont chères sur certaines destinations comme Maupiti. J'ai tout d'abord étudié les parcours en téléchargeant le programme des vols puis finalisé la réservation par téléphone (689 40 86 42 42 - ouvert de 7:00 à 19:00 heure locale). C'est plus facile, plus rapide et de plus, en pratiquant ainsi, nous n'avons eu à payer les réservations qu'au mois de mars. Nous aurions pu payer encore plus tard si nous l'avions souhaité.
Mais surtout, nous avons appris qu'acheter ses vols au départ de Tahiti était plus cher (sauf prix promotionnels de salons). Les avions sont très bien entretenus, même si les sièges ne sont pas très confortables : il est vrai que les vols sont assez courts, voire très courts (10 minutes entre Tahiti et Moorea).
Pas de place attribuée dans l'avion, on se met où on veut pour profiter comme on le sent du spectacle qui s'annonce grandiose.
Les formalités sont très rapides : enregistrement, embarquement ! c'est tout. Pas de fouilles, pas de contrôles... c'est très cool. Inutile donc d'être longtemps à l'avance à l'aéroport. En général, entre 45 minutes à une heure suffisent. Ca permet de profiter plus longtemps de la journée de vacances. La plupart du temps, un vol inter-îles s'intègre assez bien dans une journée
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Les bagages : il faut composer avec les règles établies mais c'est assez simple finalement. Il faut s'imaginer que l'on monte dans un bus volant. C'est le principe des avions Air Tahiti. Comme chez MacDo, on vient comme on est. Si on est en tongs et paréo, on y reste. Et dans le bus, il n'y a pas de place pour des bagages encombrants. Tout (ou presque) va dans le coffre.
Un billet d'avion donne droit à 23 kg de bagages.
En soute, plusieurs bagages autorisés sans pénalités.
Un bagage ne doit pas excéder 25 kg. Au-delà, il faut en avoir deux.
5 kg de plus autorisés si vous êtes plongeur et que vous pouvez le prouver. N'oubliez pas votre carte ! ça vous fait 28 kg au total, donc deux bagages en soute.
Les valises : à prendre ou à laisser
Valise cabine : elle n'ira pas en cabine car ça ne passera pas dans les coffres à bagages. Ca peut être l'occasion de répartir le poids d'un bagage un peu lourd entre deux valises et de mettre l'ensemble en soute.
En cabine : 5 kg autorisés. C'est très peu. En général, il n'y a pas de contrôle et si vous avez un sac à dos "raisonnablement" un peu plus lourd, ça ne devrait pas poser de problème.
L'excédent de bagage : si malgré tout vous dépassez le poids autorisé, Air Tahiti vous proposera d'acheter un forfait pour un seul vol ou pour l'ensemble de votre circuit. Ne perdez pas le papier, vous devrez le présenter à chaque vol. Dans notre cas, nous avons payé 35 euros pour 10 kg d'excédent pour l'ensemble de notre pass Bora Bora - Tuamotu.
Comme très souvent, nous avons eu quelques difficultés à doser la quantité de vêtements et d'objets que nous avons du promener pendant un mois. Il est vrai que la durée de notre voyage nous avait quelque peu induits à la prudence, mais une prudence toute inutile ! C'est surtout le poste vêtements qui est à revoir. On s'habille peu finalement, donc on salit peu... Il y a par ailleurs souvent la possibilité de laver quelques pièces, soit dans les pensions qui facturent la tournée ou à l'hôtel qui facture à la pièce (prix très abordable pour des petites pièces comme les sous-vêtements et rendus dans la journée). Avec le recul, voici quelques exemples de ce qu'il aurait été préférable de prendre ou de laisser. 15 kg en trop à nous deux ! Inutile de préciser que nos valises sont beaucoup plus légères lorsque nous repartons.
Les maillots de bain : ils sont la base de l'habillement pour nos vacances en Polynésie. Personnellement j'en avais emmené 5 et j'en ai utilisé 4. En avoir suffisamment permet de bien les sécher après lavage. C'est donc parfait.
Les sous-vêtements : deux m'ont suffit puisque j'étais en maillot de bain à peu près toute la journée et qu'ils sont très faciles à laver ou à faire laver. (J'en avais emmené au moins 8 !).
Les shorts : deux suffisent largement. On passe rapidement au paréo, surtout le paréo court avec un tee-shirt ou un haut de maillot. C'est en fait très confortable, très joli et très pratique surtout quand on grossit pendant le séjour... (j'en avais emmené 5 )
Les Tee-shirts : je n'ai utilisé que des Tee-shirts sans manches, à l'exception de celui acheté en souvenir au centre de plongée. J'en ai donc utilisé au total 4 sans compter celui que j'ai porté pour le voyage. J'en avais au moins 12 ...
Les robes-tuniques en coton : En avoir quelques-unes est une bonne chose, surtout pour se prémunir des piqûres de moustiques à la tombée de la nuit. J'avais emporté 3 de ces tuniques, que l'on trouve parfois sur les plages en vacances. Je les avais préalablement lavées avec un produit répulsif contre les moustiques. J'ai utilisé les 3 car je ne mettais que ça en soirée.
Les robes habillées (pour les soirées dans les hôtels chics) : ça se discute. Si vous voulez vraiment vous faire belle, une ou deux devraient suffire. Sinon, oubliez ! On peut parfaitement rester en paréo dans les pensions ou en robe de coton le soir à l'hôtel. C'est la Polynésie et c'est parfaitement toléré, même dans les grands hôtels. Il nous est même arrivé d'aller dîner pieds nus. Mes 3 spécimens sont restés dans la valise.
Les chaussures : Tongs, tongs, tongs... A l'exception des chaussures de plage qui sont indispensables pour aller se baigner la plupart du temps, je n'ai rien eu besoin d'autre. J'ai bien chaussé mes tennis un matin pour la visite des fermes d'ananas, mais juste pour les sortir de la valise. J'aurais parfaitement pu le faire en tongs. Mes sandalettes ne m'ont servi que pour le voyage international, car les bas de contention ne passent pas bien dans les tongs ! Autant investir dans des bonnes tongs confortables, jolies et solides. Les polynésiens sont tous chaussés ainsi.
Les pulls : en emmener un peut se révéler utile même si ça reste exceptionnel. Nous avons eu froid un soir dans les Tuamotu. Une tempête faisait rage et il faisait assez frais. Mais les paréos qui servent à tout, ont cette fois fait office de grande étole. Je n'avais pas emmené de pull !
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Les accessoires de coiffure : un élastique suffit ainsi qu'une brosse. Une ou deux pinces, pour relever le tout. Rien de plus. Tout ce qui est lourd et sophistiqué est à oublier. Vous trouverez sur place de très jolies barrettes ou pinces avec des fleurs de tiaré ou des coquillages, c'est suffisant.
Les produits pour les cheveux : c'est lourd, mais ce n'est pas du luxe. Vos cheveux subiront en permanence les agressions du soleil et de l'eau salée et il est important de bien les soigner et de bien les hydrater. J'avais emmené
des produits adaptés mais je n'ai pu finir le mois qu'à l'aide de produits locaux, à base de monoï très efficace aussi.
Le maquillage : un crayon, un mascara, et un rouge à lèvres pour les soirs de fête sont bien suffisants. Pas besoin d'emmener le rose, le mauve, le rouge....!
Les chaussures de bain : j'en ai parlé plus haut. Elles sont absolument indispensables. Les coraux peuvent être blessants dans l'eau et c'est dommage de ne pas profiter d'une belle plage. En revanche, une paire suffit ! j'en avais emmené deux au cas où ...
Les lunettes de soleil : indispensables bien sur ! Mais il faut surtout une bonne protection. La luminosité est importante et peut devenir pénible si on n'est pas bien protégé. Tant pis pour le bronzage si la lunette est trop couvrante...
Les bijoux : le moins possible, même ce que vous aimez. A part l'alliance, vous ne mettrez rien de ce que vous avez emmené (ni le petit bracelet d'été, le dernier collier acheté...RIEN!). L'eau de mer n'est pas toujours la meilleure amie des bijoux. Vous achèterez sur place. Le choix est énorme. Entre les perles et les bijoux locaux qui vous mettent dans l'ambiance et que vous ramènerez en souvenir, vous aurez de quoi faire. Inutile de prendre des risques. Il n'y a pas des coffre-forts partout.
Les crèmes de soin : c'est lourd et parfaitement inutile sauf exception.
- La crème solaire : pour le soleil, bien sûr une bonne protection est importante, mais si possible bio, pour ne pas perturber l'éco-système
- L'après-soleil : nous avons à peine entamé notre énorme tube de Biafine que nous avons remplacé par l'aloé vera en flacon acheté localement et qui s'est révélé être d'une efficacité redoutable.
- Nous avons hydraté notre peau avec du monoï que l'on trouve absolument partout (du monoï satin moins gras) délicieusement parfumé. Il n'est pas cher et 100% local.
Les chaussettes : une ou deux paires de petites chaussettes peuvent être très utiles si vous avez les talons irrités par les palmes. Les blessures ne se referment pas facilement, aussi glisser les chaussettes dans vos palmes vous permettra de limiter les frottements. Et c'est plus classe !
Les pantalons : vous pouvez les oublier chez vous. Ils ne vous manqueront pas.
Plonger en chaussettes, très cocoon !
Les produits de lavage pour le corps : inutile d'apporter du savon. Il y en a partout où vous serez hébergé et les produits achetés localement sentent délicieusement bon. En revanche, emporter avec vous des gants exfoliants en éponge végétale, vous permettra de vous débarrasser des peaux mortes et de renforcer votre bronzage.
Les anti-moustiques : ils sont voraces même s'ils sont plus ou moins nombreux selon la saison. Certains peuvent être porteurs de la dengue. Il faut donc se protéger efficacement. On peut trouver des produits sur place ou en emmener. Le site Insect écran, permet de simuler vos besoins avec la calculatrice des besoins en entrant la durée de votre voyage, le nombre de personnes et la région dans laquelle vous vous rendez.
- La moustiquaire imprégnée : nous avions emporté une moustiquaire imprégnée que nous n'avons pas utilisée. Il y en avait une partout où nous sommes allés.
- La bombe insecticide : indispensable pour une petite chasse avant le coucher quand on a oublié de fermer la fenêtre en laissant la lumière allumée...
- Le vaporisateur pour les vêtements : c'est pas mal aussi surtout si on ne veut pas s'asperger de produit directement sur la peau (nous en avons utilisé deux flacons car nous en mettions aussi sur la moustiquaire)
- Le vaporisateur pour la peau : il est très utile pour le soir quand on ne supporte plus de se faire piquer (selon les endroits). Nous en avons utilisé deux flacons aussi.
- Le boîtier pour la prise : il n'a servi qu'une fois
- La pommade apaisante : On peut utiliser de l'huile de tamanu achetée localement 100% bio.
Par ailleurs, les produit OFF trouvé sur place est très efficace ainsi que les produits locaux fabriqués à base de plantes. Sinon, c'est un bon apport pour se soulager rapidement.
L'aspi-venin : nous l'avions emporté pour répondre aux morsures des scolopendres mais heureusement, il n'a pas servi. Ceux que nous avons rencontrés étaient trop petits pour s'attaquer à nous. Il fait partie de ce que nous remettrons dans notre valise.
Les médicaments : nous en avons emmené une bonne dose et heureusement pour nous, très peu ont servi. Nous avons toutefois utilisé les antibiotiques pour les otites et pas mal de paracétamol. Ils sont indispensables si on ne veut pas gâcher les vacances le jour où on en a besoin. Il n'y a pas des médecins ni des pharmacies partout. Nous avions emmené :
- Pommade antibiotique, cortisone, cicatrisante, désinfectante et homéoplasmine pour les irritations
- Médicaments : antibiotiques pour les angines, otites, infections urinaires et diverses, cortisone, anti-allergiques, fluidifiants (type exomuc), maxillase pour sécher tout ça, anti-douleur (paracétamol et aspégic), pastilles pour la gorge, gouttes pour le nez... Ayant attrapé une angine avec une rhino dès le premier jour, inutile de préciser que toutes les pastilles, fluidifiants, ... sont partis même si j'ai réussi à éviter les antibiotiques. L'an prochain, je doublerai la dose de pastilles et de fluidifiant dont j'ai manqué. Plonger avec le nez bouché est très pénible même si on est censé respirer par la bouche.
Les appareils photo et caméras: ne lésinez pas et ne vous trompez pas ! C'est certainement le voyage de votre vie et de belles photos s'offriront naturellement à vous. Ne manquez pas l'instant. Toutefois, préparez-vous, surtout si vous ne connaissez pas encore votre matériel. Ce n'est pas parce que votre go-pro est bien réglée quand vous skiez que vous allez en avoir le même usage sous l'eau.. (va-t-elle s'éteindre en plein milieu de la prise de vue ? quel est le bon angle pour ne pas rater le gros requin?...). Et surtout, attention à la fermeture des caissons.... Un cheveux coincé dans le joint m'a coûté ma caméra qui a pris l'eau ! Vérifiez bien avant de partir. L'idéal est de pouvoir emporter tout ça dans un petit sac peu encombrant. Mais pensez aussi aux sacs qui vous aideront à préserver votre matériel du sable et de l'eau !
Les sacs étanches : totalement, définitivement, impérativement nécessaires. Mon sac à dos de 15 litres a servi à tout, partout et tout le temps. Il était grand et permettait de recevoir mon autre sac à dos (sac à main), l'appareil photo, les serviettes sans broncher. Très utile aussi pour les vols inter-îles. Il était de toutes les sorties car on y glissait tout ce qu'on voulait : il ne craint absolument rien. Pratique pour la plage, et pour nos sorties quotidiennes en canoë ou en paddle, pour les sorties plongée, les pique-niques sur les motus... On peut transporter du matériel fragile en toute sécurité. De plus, ses sangles amovibles servaient de bout d'amarrage pour le canoë. Le must est d'en avoir un plus petit pour l'accompagner. On y glisse livre, clé de chambre, téléphone... ça permet de compartimenter. Pour compléter, nous avions chacun une pochette étanche pour nos téléphones, que nous portions autour du cou si besoin. Elle ont assez peu servi dans l'eau puisque nous avions les caméras et appareils photo étanches. Toutefois, nous les avions autour du cou avec le téléphone en mode torche, pour nous éclairer en vélo à la tombée de la nuit.
Les sacs en général : sans eux on serait bien embarrassé. Les sacs étanches même s'ils sont polyvalents ne font pas tout. Nous avons préparé nos bagages avec des sacs de congélation, nous permettant de compartimenter, médicaments, maillots, accessoires, câbles... ils permettent en un clin d'oeil, de trouver ce que l'on cherche, y compris dans les bagages à main. Nous en avons mis des vides dans la valise, de tailles différentes, et en un mois, ils ont tous servi !
Les sacs de course en nylon, ceux que l'on glisse dans leur pochette intégrée et que l'on achète dans les grandes surfaces. Pas lourd, pas encombrant, très solide, il y en avait toujours un avec nous ! Pratique pour transporter des achats improvisés (bière, jus de fruits...), il fait partie des indispensables.
Pour le snorkeling
Le masque : si vous êtes habitué au vôtre, sans hésitation, emmenez-le. Vous serez plus à l'aise et ne perdrez pas de temps dans les réglages. Pour le tuba, c'est pareil. Ce n'est pas ce qui prend le plus de place.
Pour les palmes, ça se discute. C'est lourd et encombrant et je n'ai pas vu d'endroit en Polynésie où elles n'étaient pas à disposition.
Les lunettes de piscine : nous ne les avons pas sorties de la valise.
Le masque décathlon : il est très lourd et très encombrant. Si vous avez déjà le masque de plongée et le tuba, il ne fera pas mieux. Le mien a servi 3 fois...en un mois. Toutefois, il est très pratique, donc si vous aimez, n'hésitez pas.
Les accessoires pour la go-pro : le caisson étanche bien sûr mais aussi la poignée flottante avec la dragonne. Indispensable en snorkeling ou en plongée. La perche est très utile aussi. Elle permet de réaliser des prises de vue, en ne s'approchant pas trop près. Attention de prendre la qualité. Vous n'avez pas envie de perdre votre caméra !
Les sacs étanches pour les téléphones : Ils sont bien pratiques car on peut prendre des photos au travers. Accroché autour du cou, il reste à portée de main. On l'a même utilisé la nuit en vélo pour éclairer la route. Système D !
La lampe torche ou frontale : ce n'est pas du luxe quand on doit rentrer dans la pénombre. Certes, il y a les téléphones, mais la portée n'est pas la même et la batterie non plus.
Les multi-prises : elles peuvent être utiles mais nous avons trouvé suffisamment de prises partout où nous sommes allés.
