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Les préparatifs
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Les préparatifs

Voyager en Polynésie n'est pas toujours simple. Les lignes aériennes de la compagnie Air Tahiti ne desservent pas toutes les îles quotidiennement. Certaines îles n'ont pas une large gamme d'hébergements et trouver un vol et un logement disponibles en même temps peut devenir un véritable casse-tête. Il est donc important de s'y prendre le plus tôt possible et c'est ce que nous avons fait à chaque voyage. Nous avons réservé nos vols transatlantiques un an à l'avance, et nos vols inter-îles ainsi que l'hébergement, un an à l'avance aussi, dès l'ouverture de la billeterie. Même ainsi, il nous a fallu faire des concessions et abondonner l'idée de se rendre à certains endroits.

Les vols transatlantiques
Les vols transatlantiques

Nous avons choisi Air France pour voyager pour chacun de nos voyages.

La compagnie propose désormais 5 vols directs au départ de Roissy, les samedi, dimanche, mardi, jeudi et vendredi et jusqu'à 7 en été.

Nous sommes partis à chaque fois, un samedi soir avec une escale de 2:00 à Los Angeles. Le transit est désormais plus fluide et donc plus rapide avec un parcours réservé à l'escale. En revanche, il ne faudra pas s'attendre à faire les boutiques. C'est assez dépeuplé. Les chiens ont toutefois leurs propres toilettes. Tout est prévu. On est en Amérique quand même !

Il faut cependant  tout repasser (immigration et sécurité). L'arrivée à Papeete Faa se fait le lendemain vers 5:30.

Le voyage près de 22:00 heures au total à l'aller et 21:05 au retour, avec environ 11:40  pour aller à Los Angeles et 8:30  pour rejoindre ensuite Tahiti.

Le trajet fait 23000 Km et le décalage horaire est de 12 heures selon la période.

Le vol aller
Le vol retour

Sur les vols directs proposés par Air France avec une escale technique à Los Angeles, les passagers débarquent de l'avion pendant cet arrêt en emportant tous leurs bagages à main alors que les bagages restent en soute. Le passage par l'immigration est obligatoire et il faut donc penser à se munir de son ESTA. On peut l'obtenir pour 22 $ sur le site officiel du gouvernement américain. Attention, de nombreux sites se substituent au site officiel et vous facturent 60 ou 100 € pour la même prestation. Attention aussi de bien renseigner le formulaire, car une erreur peut coûter très cher, jusqu'à vous empêcher de partir surtout si vous vous y prenez à la dernière minute. Il est valable deux ans.

Le prix des billets pour se rendre à Tahiti

Le prix d'un billet pour Tahiti est devenu "abordable" même si les conditions peuvent être un peu contraignantes et que les prix ont augmenté après la pandémie. On trouve des vols sur Air France à partir de 1300 € sans bagages ensoute et jusqu'à 1700€ en classe économique avec des conditions acceptables. D'autres compagnies comme French bee et Air Tahiti Nui proposent aussi des vols vers la Polynésie aux mêmes conditions. La quantité et le poids des bagages autorisés varient avec le prix du billet.

Les vols inter-îles
Les vols inter-îles

Air Tahiti est la compagnie locale qui propose des vols entre les îles. Les vols peuvent être réservés à l'unité ou sous la forme de pass inter-îles. Le site permet d'avoir une bonne visibilité sur les circuits possibles mais il est parfois difficile d'aller jusqu'au bout pour faire sa réservation. Il est préférable d'appeler le service client  (+689 40 86 42 42) très compétent et de bon conseil. Les agents sont adorables et quand on les entend, on est déjà un peu en vacances. Attention, les pass inter-îles sont valables 28 jours après le premier vol. Au-delà, il vous faudra prendre une extension jusqu'à 40 jours, ou payer un billet plein tarif.

Pour 665 euros par personne, nous avons réalisé un circuit composé de 6 îles en choissant le pass Bora Tuamotu. Le pass

Bora Bora qui est limité aux îles de la société est moins cher bien sûr. Il y a toute une gamme disponible selon la nature de votre circuit. Attention, une réservation par téléphone donne beaucoup plus de souplesse pour la préparation du voyage : Elle permet de ne payer que quelques semaines avant le premier vol et de faire toutes les modifications nécessaires gratuitement. Dès que le paiement est fait, le billet est émis définitivement et en principe, il n'est plus possible de modifier. Nous avons fait notre réservation en Novembre par téléphone et nous l'avons payée fin Juillet par carte bancaire. Ce n'est pas possible si l'on fait la réservation sur internet (paiement immédiat). 

Les bagages sur les vols inter-îles
Le contenu de nos valises

Air Tahiti autorise un bagage en soute de 23 kg. Il est possible de doubler cette capacité moyennant finances. De plus, les avions ne sont pas grands et les bagages cabines sont très limités. Vous ne pourrez emporter en cabine qu'un bagage de 5 kg maximum et un accessoire. La taille ne doit pas excéder 55 X 35 X 25. Ca va très vite et ça peut devenir compliqué quand on transporte pas mal de matériel de valeur qui ne peut pas aller en soute. Avec l'option premium, franchement plus chère, on double le poids de tous les bagages.

La bonne nouvelle, c'est que les plongeurs ont droit à cinq kilos de plus sans franchise supplémentaire sur présentation d'une carte de plongeur. Mais comme les bagages au-delà de 25 kg ne sont pas acceptés ou partent en fret, il est préférable de prévoir un deuxième bagage pour répartir le poids puisque le nombre n'est pas limité. Notre valise cabine du vol transatlantique passe en soute sur les vols domestiques. Air Tahiti fournit toutes ces informations pratiques dans sa rubrique bagages ou vous pourrez même calculer votre excédent de bagage si vous dépassez. Mais là encore c'et plus facile au téléphone. Nous partons à chaque fois avec le maximum de poids autorisé. 

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Le contenu de nos valises

Pour la plage

Des maillots de bain bien sûr, mais pour s'assurer des vacances tranquilles, nous avons emmené quelques bricoles en plus.

Pour la plage nous avons pris des indispensables chaussures en plastique. 

Je les porte systématiquement lorsque je me baigne.

Pour ma part j'ai privilégié le tout plastique car je trouve que les revêtements tissus finissent par sentir la marée surtout pendant les transferts, enfermés dans la valise. Elles sont à mon sens indispensables car on peut facilement se blesser sur des coraux ou rencontrer un indésirable poisson pierre

9,99€ chez Décathlon le prix de la tranquilité !

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Côté santé

On ne trouve des médecins ou des pharmacies partout en Polynésie. Il est donc plus prudent de partir équipé. Voici ce que nous avons emporté avec nous.

Quelques médicaments : de la crème à la cortisone (pour des réactions  à des piqûres de moustique par exemple), désinfectante, antibiotique, solaire..et quelques anti-douleurs, antibiotiques, anti-allergiques ainsi qu'un Aspivenin au cas où car même s'il n'y a pas vraiment de bêtes, il y a quelques scolopendres...

Le matériel divers

En tant que plongeurs, nous prenons avec nous une partie du matériel tel que nos ordinateurs de plongée, nos détendeurs ainsi que nos masques, palmes et tubas. Toutes les pensions n'en prêtent pas forcément. Ca serait dommage de manquer le spectacle !

Le rangement

Pour le côté pratique, j'ai usé et abusé des sacs congélation zippés pour répartir les médicaments, les petits objets, les chaussures de plage... et j'en ai mis dans la valise. Pourquoi ? C'est transparent donc j'ai une bonne vue d'ensemble et ça permet de contenir ce qui est mouillé ou qui peut couler pendant le transport. Quand vous transportez du monoï, un grain de sable dans le bouchon au moment de le fermer et c'est la cata. Vous avez vite fait de retrouver le contenu bien gras infiltré partout. Ajouter un peu de sopalin dans le sac permet de limiter la casse. 

Bien sûr, tout cela pèse lourd dans la valise. La préparer à l'avance permet de se faire une raison et de l'alléger au fil des jours qui précèdent le départ...

Les prises de vue

Enfin, nous avons emmené un appareil photo reflex, une Gopro hero8 et une caméra d'action 4 DJI avec les accessoires. Attention de ne prendre que de l'accessoire de qualité. Il en va de la sauvegarde de votre matériel (poignées qui cassent, boîtiers qui fuient...). 

Nous avons consacré un article à ce qui nous a finalement été bien utile... ou pas. Nous avions visé assez juste mais pas sur les quantités : Avec du recul, prendre ou ne pas prendre

Les hébergemens
Les hébergements

Les réservations ne sont pas toujours simples. Nous avons commencé nos recherches plus d'un an à l'avance pour nos quatre voyages avec à chaque fois des hébergements déjà plus ou partiellement disponibles. Nous avons lu beaucoup d'avis sur Trip Advisor et éliminé rapidement les pensions qui faisaient l'objet de plusieurs critiques négatives sur les mêmes sujets. Nous sommes partis du principe  que même s'il y a parfois des gens ronchons, il n'y a pas de fumée sans feu ! Inutile d'aller si loin pour se gâcher les vacances. Selon les îles, nous avons opté pour des hébergements totalement différents tous réservés en Décembre au plus tard, voire 18 mois à l'avance pour certains. Nous avons aussi beaucoup regardé Google map pour trouver des logements là où nous avions envie d'aller et pour nous assurer que les emplacements de ceux que nous avions trouvé nous convenaient.

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Papeete

Intercontinental Faaa

Pour clore notre périple et avant d’affronter le long voyage du retour, nous avons choisi (pour la quatrième fois) de poser nos valises à l’Intercontinental Tahiti Resort & Spa, à Faa’a. C’est notre port d’attache, notre façon de prolonger la magie des îles tout en nous offrant une parenthèse de confort avant le départ.

L’hôtel n’est pas le moins cher, mais il propose une large gamme de chambres et de bungalows, avec des tarifs modulés. Membre du groupe IHG, il offre aussi de nombreux avantages aux voyageurs réguliers, notamment via la carte Ambassador (200 €), qui permet un surclassement et une nuit gratuite le week-end. En combinant cela au Passeport Gourmand acheté sur place, qui donne droit à de belles remises, nous avons toujours réussi à y séjourner à un prix très raisonnable pour un établissement de ce standing.

Nous avons testé les deux formules : la chambre classique, confortable et élégante, et le bungalow sur pilotis, qui lui, ajoute la magie du lagon au pas de la porte. Depuis la terrasse, la vue s’étend jusqu’à Moorea, dont les reliefs se découpent dans la lumière du soir.

Les journées s’écoulent entre les piscines bordées de palmiers, un bassin d’eau de mer peuplé de poissons tropicaux, un condensé de toutes nos rencontres aquatiques du séjour et un refuge accueillant de majestueuses tortues. Ici, on retrouve en miniature tout ce que la Polynésie nous a offert : le bleu profond de l’océan, la vie marine fascinante, et cette atmosphère apaisante que l’on voudrait emporter avec soi.

Situé à seulement trois minutes de l’aéroport et en bout de piste, l’hôtel est aussi un lieu de retrouvailles : il n’est pas rare d’y croiser les voyageurs rencontrés au fil de nos étapes, chacun partageant ses derniers souvenirs avant de prendre l’avion. Une belle façon de terminer le voyage, le cœur encore un peu en Polynésie.

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Moorea 

Sunset Beach Residence

Suite à la fermeture de l'Intercontinental de Moorea que nous avions bien apprécié en 2019 (malgré les grèves), nous nous sommes rabattus sur le Moorea Sunset Beach. Nous n'avons pas été déçus. Nous avions choisi cet endroit pour son emplacement privilégié sur la plage des Tipaniers. Les logements sont composés soit d'appartements en rez-de-chaussée ou à l'étage, ou de bungalows individuels. L'ensemble est très moderne, très bien équipé, avec un wifi qui est plutôt performant et surtout, la propriété donne sur la plage. C'est un spot idéal, à 8 minutes en canoe du banc de sable des raies et des requins et à portée du restaurant Coco Beach où l'on doit se rendre en bateau. Nous avons passé un merveilleux séjour avec la première fois, un appartement et les deux autres fois, un bungalow plage. L'endroit est très calme. Un parking est prévu pour les voitures.

Taha'a 

Fare Pea Iti

Cette fois, nous n'avons pas opté pour un hôtel luxueux mais pour un bungalow jardin dans un lodge, le Fare Pea Iti, à l'écart de la route de ceinture. Nous avons pris une formule en demi-pension avec des repas époustouflants. Le chef nous a préparé de délicieuses langoustes tout juste pêchées. Patrick, le propriétaire est venu en bateau à l'aéroport de Raiatea nous faisant visiter les lieux au passage. Beaucoup d'activités très intéressantes sont proposées par la pension. Nous avons trouvé là un petit paradis.

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Maupiti

Pension Tereia (chez Sandra)

L'offre d'hébergement est plutôt faible à Maupiti. Il faut donc faire très vite si l'on veut être logé au bon endroit. Nous sommes hébergés cette fois, dans la pension Tereia, chez Sandra,à 50 mètres de la plage de Tereia, l'endroit où il faut être sur l'île principale de Maupiti. 

Nous avons eu une chambre chez l'habitant, chez Sandra, avec notre salle de bain privée. Le tout est rustique et authentique. Cette pension fait l'objet de beaucoup de critiques positives qui sont tout à fait justifiées Nous sommes en demi-pension. Le midi, nous pouvons nous restaurer dans les snacks de la plage. La famille adorable propose des excursions intéressantes. 

Huahiné

Le Mahana

Nous sommes revenus deux fois au Mahana, irrésistiblement attirés par ce petit coin de paradis posé au sud de l’île, dans la baie d’Avea. Ici, tout semble ralentir : le temps, les gestes, les pensées.

À chaque séjour, nous avons choisi un bungalow directement sur la plage, à moins de vingt mètres de l’eau. Depuis la terrasse, nous observons les magnifiques couchers de soleil, notre verre d'apéritif local à la main.

Sous le ponton, un jardin de corail s’anime dès que nous approchons : des poissons aux couleurs vives virevoltent autour des massifs, indifférents à nos regards curieux. C’est un spectacle hypnotisant, qu’on observe avec masque et tuba.

Le personnel, toujours souriant, nous accueille comme des habitués. On se sent vite à la maison, avec en prime les assiettes du chef, généreuses et inventives. Chaque repas est une petite fête des sens. Et, cerise sur le gâteau, l’hôtel se trouve à deux pas de chez Tara, où le dimanche, le four polynésien fume doucement dans le jardin, révélant un parfum alléchant qui attire les habitants comme les voyageurs.

Deux séjours, et à chaque fois, la même impression en repartant : celle d’avoir passé un moment hors du temps dans cette île à la végétation luxuriante… et l’envie irrépressible d’y revenir.

Bora Bora

Nous avons eu la chance de découvrir Bora Bora à travers quatre expériences très différentes. La première, dans un resort de rêve perché sur un motu. La seconde, sur l’île principale, dans un hôtel tout aussi confortable, la troisième entre l'hôtel et lea pension, et la quatrième, plus intime mais tout aussi plaisante, dans une petite pension installée au bord de la plage mythique de Matira, au sud de l’île.

Le Westin Bora Bora, anciennement le Méridien

Pour notre premier voyage à Bora Bora, nous n’avons pas lésiné. Mon rêve était clair : voir le Mont Otemanu depuis un motu. Peu d’options s’offraient à nous, sinon de choisir l’un de ces hôtels de carte postale. Nous avons donc réservé au Méridien — aujourd’hui devenu le Westin — dans un bungalow sur pilotis.

Dès notre arrivée, le décor nous a coupé le souffle : le lagon décline toutes les nuances de bleu, le Mont Otemanu se dresse comme un décor de cinéma, et le bois du ponton réchauffe les pieds encore humides du voyage. Le personnel, souriant et attentionné, nous a accueillis comme si nous étions attendus depuis longtemps.

Vivre sur un motu a quelque chose de magique… mais aussi de contraignant. On ne part pas sur l’île principale à l’improviste : il faut réserver sa place dans la navette et respecter les horaires. Et pour les repas, tout se passe à l’hôtel, avec les tarifs d’un cinq étoiles — inévitables dans ce cadre idyllique.

Le refuge des tortues
Au cœur du resort se trouve l’un de ses joyaux les plus précieux : le refuge des tortues marines. Dans ce centre de préservation, des soigneurs passionnés accueillent les tortues blessées ou malades, leur prodiguent des soins et les réhabilitent avant de les relâcher dans le lagon. On peut observer ces majestueuses pensionnaires glisser dans l’eau claire, assister au nourrissage et écouter les histoires de chacune d’elles. Une rencontre émouvante qui ajoute à la beauté du lieu une dimension plus profonde : celle de la protection de la vie marine.

L'intercontinental Moana Resort

Pour notre second séjour, nous avons posé nos valises sur l’île principale, à la pointe sud, face à la plage de Matira. Depuis notre bungalow sur pilotis, une table en verre s’ouvrait comme un hublot sur le lagon : on y observait les coraux replantés et les poissons colorés glissant sous le plancher, comme dans un aquarium vivant.

Avec la carte Platinum (achetée 200 dollars), nous avons profité d’un surclassement et même d’une nuit gratuite pour un séjour de deux jours ou plus entre le vendredi et le dimanche — un petit privilège bien agréable.

Le Moana offrait une expérience très différente du Méridien. Ici, la plage était vivante et rythmée : le bruit des moteurs de pirogues annonçait les retours de pêche, les rires des plongeurs résonnaient au départ des excursions, et l’air salé mêlait l’odeur des fleurs de tiaré portées par le vent.

Situé sur l’île principale, l’hôtel nous permettait de partir à pied à la découverte des boutiques, des snacks de bord de route ou simplement de nous promener au hasard des chemins, sans contrainte de navette ni horaires à respecter. Cette liberté donnait un goût différent au séjour : celui de se sentir un peu plus dans la vie locale, tout en gardant le confort d’un resort cinq étoiles.

Le OA OA Lodge

Sur la côte ouest de Bora Bora, à quelques minutes seulement du centre-ville de Vaitape, l’Oa Oa Lodge offre une parenthèse simple et agréable, les yeux tournés vers le lagon. Depuis la terrasse ou la piscine, on profite d’un spectacle permanent : pirogues, pêcheurs, voiliers, et même le paquebot Paul Gauguin ancré dans la baie pour son escale à Bora.

Le lodge compte quelques bungalows sur pilotis directement au-dessus de lma mer. Il n'y a pas de plage mais on peut se baigner facilement en accédant à l’eau par le côté, ou se détendre au bord de la petite piscine, récemment rénovée comme l’ensemble de l’hôtel.

Sa localisation est idéale pour rayonner dans l’île : la ville est toute proche, et il est possible de louer des vélos directement sur place. Ici, pas de luxe ostentatoire : l’atmosphère est décontractée, le séjour sans chichi mais avec le charme de la simplicité.

Réservable uniquement via Booking.com, l’Oa Oa Lodge est une bonne option pour ceux qui souhaitent profiter de Bora Bora dans un cadre convivial, avec la mer à portée de regard et les commodités de Vaitape à quelques coups de pédale.

Rangiroa

Coconut Lodge

A Rangiroa, il n'y a pas une foule d'hébergements à prix abordable si on ne s'y prend pas très longtemps à l'avance. Nous avons trouvé une pension de famille le Coconut lodge chez Alice et Nicolas, pas trop loin de la fameuse passe de Tiputa, un spot de plongée réputé dans le monde entier. La pension propose des bungalow sur la plage avec une vue sur le lagon, au bord d'une plage privée donnant sur un jardin de corail. Ils sont très bien décorés et Alice nous prête des vélos. Un vrai coin de paradis sur la plage duquel, des raies manta sont venues nous rendre visite !

Tikehau

Chez Colette

Pour notre première expérience à Tikehau, nous avons opté pour quelque chose de complètement différent : la pension Aito Motel, chez Colette. Située au sud de l’atoll, sur le même motu que l’aéroport, l’adresse est tenue par Colette, son fils Jessie et son mari Heneré. Chaque soir, ce dernier sort son ukulélé et emplit l’air de chansons polynésiennes, créant une ambiance chaleureuse et un peu festive. Le matin, c’est encore lui qui prépare les assiettes de fruits frais, aux parfums sucrés et acidulés.

La pension compte cinq bungalows les pieds dans le sable, face au lagon, et une grande chambre légèrement en retrait, à une vingtaine de mètres de la plage. Ici, pas de chichi : Colette mène la barque avec énergie, et mieux vaut être ponctuel aux repas.

Les environs sont calmes au point de se sentir seuls au monde : un bout de plage rien que pour nous, l’eau claire à perte de vue, et seulement le bruit du vent et des vagues pour rompre le silence. Par moments, on se croirait sur l’île d’un roman d’aventure, coupés du reste du monde. Côté connexion, le wifi n’est pas le point fort de la maison : il fonctionne “chacun son tour et pas trop vite”, à condition de se rapprocher de la salle à manger.

Colette nous a prêté des vélos pour explorer l’île, une balade vite terminée tant elle est petite. Nous y avons passé trois nuits, un format parfait : suffisant pour savourer le charme simple et l’atmosphère unique du lieu, mais sans risque de s’ennuyer. Pour l’occasion, nous avions réservé les six hébergements de la pension, puisque nous voyagions en groupe de douze.

Fakarava

Havaiki Lodge

On pourrait presque dire qu'il est impossible d'aller à Fakarava sans passer par le Havaiki Lodge tant cet endroit est paradisiaque. Il est situé au bord d'une magnifique plage d'un bleu époustouflant où l'on rencontre à longueur de journée les maîtres des lieux, les requins dormeurs. Ils cohabitent paisiblement avec les vacanciers. L'ensemble est joliment décoré, les bungalows sont très beaux et donnent tous sur la mer, que ce soit au premier ou au second rang (puisque les bungalows jardin sont surélevés). Le midi, il est possible de se restaurer au snack du requin dormeur et le soir, au restaurant de l'hôtel. Celui-ci est vraiment délicieux et le tout dans un joli cadre puisque la boutique de perle est dans le restaurant. Le petit plus : l'hôtel abrite la ferme perlière dont la production est partiellement transformée à l'hôtel en très jolis bijoux originaux. 

Le wifi
Le wifi

Partir un mois si loin de chez soi et avec un si grand décalage horaire (12 heures) peut nécessiter de se connecter hors de portée des réseaux fournis par les différentes structures de l'île. Faire un petit Face Time de temps en temps pour éviter des communications trop onéreuses, sauvegarder ses photos sur un cloud pour éviter de les perdre, s'assurer que l'alarme de la maison n'a rien détecté d'anormal... sont autant de raisons (bonnes ou moins bonnes) de rester branché. Avec le boîtier wifi de Tahiti Wifi, on peut se connecter à partir de beaucoup d'endroits en Polynésie. C'est très simple : il suffit de réserver son forfait avant le départ et de récupérer le boîtier à l'aéroport de Tahiti à la descente de l'avion. Un boîtier de 5 giga valable jusqu'à 30 jours coûte 39 euros. En cas de besoin, il est possible de rajouter de la data à distance. Il faut juste penser à le restituer avant le départ de l'avion !

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La plongée
La plongée

La Polynésie est l'endroit idéal pour les plongeurs. Mais attention, quand on se lance dans un circuit avec des vols entre les îles, il faut en tenir compte pour respecter les délais entre les plongées et les vols pour des raisons de sécurité. Il y a de nombreux clubs de plongée en Polynésie. Voici les clubs de plongée avec qui nous avons plongé selon les endroits :

Moorea : Nemo'z 

Bora Bora : Bora Diving Center, Bora Ocean Adventure

Rangiroa : Topdive

Tikehau : Coco Dive

Fakarava : Topdive, Kaina

Papeete : Topdive

Quand nous le pouvons, nous prenons un forfait multi-îles qui nous permet de plonger dans différentes îles à un prix remisé.

Lorsque la dernière plongée date de plus d'une année, la première plongée est une séance de réadaptation.

Pas besoin de certificat médical en-dessous de 75 ans ou en l'absence de maladies déclarées. Le club vient vous prendre sur le lieu de villégiature et prête la totalité du matériel sans supplément. Des forfaits sont proposés avec des remises assez intéressantes en fonction de l'option choisie. Tout est fait pour vous faciliter la vie. 

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